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Engagée depuis 25 ans à intégrer des stratégies RSE et de développement durable aux stratégies business, UTOPIES a accompagné au fil du temps de nombreux groupes et ETI dans l’élaboration de leur stratégie – de Lafarge à Danone en passant par Expanscience, Cojean, etc.

Engagée depuis 25 ans à intégrer des stratégies RSE et de développement durable aux stratégies business, UTOPIES a accompagné au fil du temps de nombreux groupes et ETI dans l’élaboration de leur stratégie – de Lafarge à Danone en passant par Expanscience, Cojean, etc.

“Entreprise neutre en carbone”, "Émissions négatives”... Souvent décriée pour son utilisation abusive, la contribution à la neutralité carbone constitue néanmoins un levier indispensable à la transition climatique, accessible pour toute entreprise en mesure de l’utiliser à bon escient.

Limites planétaires franchies, dérèglements croissants et crises à répétition, le climat et la biodiversité sont deux sujets interdépendants, stratégiques pour les entreprises et dans le top 3 des risques économiques majeurs selon le World Economic Forum. Ces sujets parfois techniques requièrent donc une sensibilisation accrue, des formations pour pouvoir ensuite engager et mobiliser toutes les fonctions.

L'urgence climatique exige que les entreprises s'adaptent pour continuer à exister. Les risques climatiques sont réels et leur compréhension et gestion doit devenir une véritable priorité.

UTOPIES accompagne les entreprises et les territoires dans la construction de stratégies alimentaires locales et résilientes.

Tout projet d’aménagement présente des enjeux relatifs à l’environnement, ainsi qu’aux occupants et aux riverains. Impactés par les mutations de la société, les lieux se métamorphosent autour de nouveaux usages et participent au développement de nouvelles organisations et comportements.

Les activités économiques, quelles qu’elles soient, s’appuient directement ou indirectement sur les ressources naturelles : comme une croissance infinie n’est pas possible sur une planète finie, ces ressources sont consommées à un rythme très supérieur à celui de leur renouvellement et aux limites de la planète, qui sont également mis à l’épreuve par les pollutions qu’engendrent les activités humaines.

La Société à Mission est une qualité juridique qui commence par l’inscription dans ses statuts d’une raison d’être et d’objectifs sociaux et environnementaux associés. Mais au-delà de cet acte fondateur, devenir une entreprise à mission est un engagement stratégique qui dessine un chemin de transformation.

La crise climatique est l'un des plus grands défis de notre temps et nécessite une action rapide et coordonnée de la part de tous les acteurs de la société. Les entreprises ont un rôle crucial à jouer dans la lutte contre le changement climatique en adoptant des stratégies climatiques ambitieuses et en réduisant leurs émissions de gaz à effet de serre.

En 2014, UTOPIES devenait la 1ère entreprise française certifiée B CORPORATION. Depuis en tant que partenaire privilégié, et en coordination avec B Lab France, UTOPIES contribue au développement de la certification en accompagnant toutes les entreprises françaises qui s’y intéressent dans leur processus de certification.

Mettant au défi l’idée reçue selon laquelle le moteur du capitalisme serait l’égoïsme, certaines marques ont mis en place, dans le prolongement de leur raison d’être voire au cœur de leur modèle économique, des démarches de mécénat, de solidarité ou de philanthropie exemplaires.

Réputation et attractivité des villes, partenariats public-privé, autonomie alimentaire, dynamisme économique local, intermodalité et mobilité douce, mixité des usages, réappropriation des espaces par les riverains avec le Place-Making : vers un renouvellement du projet urbain en quelques défis-clefs.

Impact climatique, villes durables, enjeux technologiques, consommation collaborative et économie de fonctionnalité, intermodalité et nouvelles mobilités : les transports de demain devront être résolument durables et inclusifs.

Impact climatique des transports (notamment aérien) et des bâtiments mais aussi des activités de loisirs, empreinte locale sur l’économie et l’environnement, nouveaux modèles économiques collaboratifs, éthique des plateformes : à l’heure du tourisme de masse, comment réinventer le secteur avec les défis du développement durable ?

Impact environnemental et sanitaire des bâtiments, de la construction à l’exploitation, mais aussi prise en compte de la dimension territoriale, choix constructifs (ex. neuf ou rénovation, préfabriqué…) sans oublier les liens entre la minimisation des loyers et la performance énergétique des bâtiments ou l’accessibilité par les transports en commun : le logement social a moult défis à relever, qui sont autant de sources d’innovation.

De l'extraction des matières premières aux conditions de travail ou au recyclage des déchets sur les chantiers, en passant par la durée de vie des bâtiments, leur impact sur le climat et l'environnement, sans oublier la qualité de l'air intérieur et l'impact sur les territoires : le bâtiment est une industrie majeure sur les questions de développement durable...

De l’impact climatique au gaspillage en passant par les consommations d’eau, le plastique à usage unique, le sourcing des ingrédients, les kilomètres alimentaires, les conditions de travail en cuisine, la livraison ou le fait-maison : les défis sont nombreux pour ce secteur déjà bousculé par l’arrivée de nouveaux acteurs.

Elimination des ingrédients controversés, naturalité, simplification des recettes, réduction des emballages, éthique derrière les étiquettes, impact sanitaire et approche métabolique : la transition alimentaire est en route, vers une alimentation plus vertueuse pour les humains, les agriculteurs et la planète.

Des enjeux éthiques (tests, effets secondaires, brevets, accès aux soins…) à l’impact environnemental des activités mais aussi des produits (résidus médicamenteux, emballages, gestion des invendus, etc.) en passant évidemment par le modèle économique (soin vs prévention, global vs local), l’industrie de la santé a nombreux défis à explorer pour se réinventer.

Elimination des ingrédients controversés, simplification des formules, transparence radicale, sourcing éthique et communication responsable, sans oublier la réduction des emballages et des consommations d’eau : l’industrie de la beauté se cherche une nouvelle jeunesse…

Transparence radicale, devoir de vigilance, fibres responsables, économie circulaire, mode inclusive et changement du modèle dominant de la fast-fashion : les défis ne manquent pas pour un secteur qui a en plus à son actif l'influence de ses marques pour changer les normes sociales.

Le développement durable est un sujet très transversal, qui remet en cause les silos existants et requiert une capacité à mobiliser toutes les fonctions, à intégrer tous les enjeux… Pour l’individu qui intègre cette approche dans son métier historique, ou en fait son (nouveau) métier principal, mais aussi pour une équipe ou un métier (ex. R&D, marketing, achats, etc.) sensés réécrire leur contribution à la mission et à l’engagement de l’entreprise, la dimension de conduite du changement est importante, et le besoin d’accompagnement et de structuration souvent bien réel.

Nous croyons depuis toujours que « l’exemplarité n’est pas une façon d’influencer : c’est la seule » (Albert Schweitzer). Les exemples positifs et inspirants, même déployés dans une autre industrie ou un autre pays, sont puissants car ils ouvrent le champ des possibles.

La question de la marque-employeur converge de manière croissante avec toute une série de sujets-clefs des démarches RSE, de sujets, voire de défis, pour le business…

Avec la popularité croissante de l’exercice et la multiplication des comités de parties prenantes, les ONG et autres experts sont de plus en plus sollicités par les entreprises, individuellement et collectivement, et se retrouvent en situation de choisir les entreprises auxquelles ils souhaitent consacrer du temps.

Trop souvent, nous constatons que le reporting est traité sous un angle normatif et défensif. Chez UTOPIES, nous faisons de la raison d’être de l’entreprise le point d’entrée du reporting, et proposons de dépasser la seule maîtrise des impacts opérationnels pour valoriser la contribution sociétale de l’entreprise, en démontrant les impacts et la valeur créée via l’offre de produits et de services.

Engagée depuis 25 ans à intégrer des stratégies RSE et de développement durable aux stratégies business, UTOPIES a accompagné au fil du temps de nombreux groupes et ETI dans l’élaboration de leur stratégie – de Lafarge à Danone en passant par Expanscience, Cojean, etc.

Végétarisme et bien-être animal, produits bio, refus du plastique à usage unique ou plus récemment honte de prendre l’avion : les exemples de sujets émergents sur lesquels les représentations et les comportements ont basculé plus vite que les entreprises ne l’escomptaient.

Le développement durable est un puissant levier d’innovation positive pour les entreprises, les hommes et la planète. Afin d’encourager cette transition, UTOPIES, en collaboration avec Danone, propose le programme Noé, constitué de sessions créatives à l’intention des cadres dirigeants et des personnalités à haut potentiel provenant des fonctions business et transverses des entreprises.

La stratégie d’innovation est un système de management à part entière – avec une philosophie, des objectifs, des compétences, une organisation, des ponts avec les autres départements, des indicateurs et un reporting…

Le développement durable ne change rien dans les entreprises, souvent, s’il ne change pas les produits ou services : il ne s’agit pas de créer, à la marge, quelques offres vertes mais bien d’orchestrer la transition des modèles économiques et la génération des offres responsables (choice-editing).

Entre responsabilité élémentaire et anticipation d’évolutions réglementaires de plus en plus contraignantes, la lutte contre le changement climatique s’impose comme une priorité pour l’ensemble des acteurs économiques.

Pour mesurer l’étendue de ses impacts, les valoriser auprès des parties prenantes et prendre conscience de sa responsabilité élargie, l’entreprise est amenée à calculer son empreinte socio-économique.

Le sujet de l'ancrage local de l'alimentation apporte des perspectives inédites et transverses sur de nombreux défis contemporains : renforcement des liens entre milieux urbains et ruraux, demande croissante pour une alimentation de proximité, potentiel de développement économique et d'emploi etc.

Entre mondialisation et approche économique locale, UTOPIES accompagne territoires et entreprises dans de nouvelles opportunités de développement.

Alors que beaucoup d’entreprises rêvent de la grande idée ou du modèle économique rupturiste qui leur permettra de répondre aux limites planétaires tout avançant dans une période chargée d’aléas, nous leur proposons d’utiliser le local comme un point d’appui pour renouveler leur mission, diversifier leurs activités et réinventer leur modèle économique.

Croyant résolument au marketing de l’offre, UTOPIES n’en pense pas moins utile de mener des études pour comprendre comment est perçu, ou pas, l’engagement des marques : c’est l’objectif de l’Observatoire des Marques Positives, un dispositif d’évaluation de la positivité perçue des marques mis en place avec l’institut d’études Arcane Research.

Nous croyons que les marques fortes et pérennes sont celles qui portent une raison d’être, un engagement à contribuer positivement à la société et à la planète... et pas juste à limiter les impacts négatifs de leurs activités.

La consommation durable, la généralisation des offres responsables ("choice editing") et la contribution économique aux villes et aux territoires sont les principaux défis pour inventer le commerce de demain...