Note de Position
mars 2017
Numéro
9

Objectifs du Développement Durable

Et si votre stratégie RSE contribuait réellement à changer le monde ?

Note de position
numéro 9

mars 2017

Objectifs du Développement Durable

Et si votre stratégie RSE contribuait réellement à changer le monde ?

Note de Position
Numéro
9
mars 2017

D’une certaine façon, avec la célébration du trentième anniversaire du rapport de Gro Harlen Brundtland « Notre avenir à tous », publié en 1987 pour préparer le Sommet de la Terre de Rio, on peut dire que le concept de développement durable fête ses trente ans en 2017. C’est l’occasion d’un premier bilan, qui permet notamment de constater que ce qui était hier alternatif est désormais, et c’est tant mieux, passé dans la pensée dominante, et dans la norme sociale. Il ne viendrait plus à l’idée d’aucun dirigeant d’entreprise de déclarer que ces sujets n’ont aucune importance.

 

Dans les entreprises, 30 ans après, la question n’est d’ailleurs plus tant de construire le « business case » (argumentation économique) d’une stratégie de développement durable menée en marge de l’activité…mais de manière croissante de poser la question de l’alignement du « business model » (modèle économique) qui fonde la stratégie avec les principes-mêmes du développement durable.

Car depuis le mouvement de la « shared value » (création de valeur partagée, popularisée par Michael Porter et Nestlé), l’idée s’est répandue que les enjeux sociaux et environnementaux de notre temps interrogent de manière pertinente la stratégie de l’entreprise à l’aune de la façon dont elle les intègre pour en faire des risques…ou au contraire des opportunités. L’enjeu est désormais de passer d’une approche qui constatait froidement qu’il était impossible de construire un business viable sur une planète en faillite à une démarche plus enthousiasmante et positive, orientée sur la contribution sociétale de l’entreprise, dans un contexte où le monde est désormais prêt à payer les entreprises qui seront capables de l’aider à survivre.

Comme le dit Peter Diamandis, fondateur du X Prize, « la plupart des gens pensent encore en termes de rareté, et de croissance linéaire. Ils voient les limites, plutôt que les possibilités. Ce faisant, ils oublient que les problèmes les plus importants de notre temps sont aussi les opportunités les plus importantes. »

Faire se rejoindre les talents et les forces de l’entreprise avec les besoins du monde, comme le prônait Aristote, c’est tout l’intérêt d’une approche stratégique fondée sur les ODD…

D’une certaine façon, avec la célébration du trentième anniversaire du rapport de Gro Harlen Brundtland « Notre avenir à tous », publié en 1987 pour préparer le Sommet de la Terre de Rio, on peut dire que le concept de développement durable fête ses trente ans en 2017. C’est l’occasion d’un premier bilan, qui permet notamment de constater que ce qui était hier alternatif est désormais, et c’est tant mieux, passé dans la pensée dominante, et dans la norme sociale. Il ne viendrait plus à l’idée d’aucun dirigeant d’entreprise de déclarer que ces sujets n’ont aucune importance.

 

Dans les entreprises, 30 ans après, la question n’est d’ailleurs plus tant de construire le « business case » (argumentation économique) d’une stratégie de développement durable menée en marge de l’activité…mais de manière croissante de poser la question de l’alignement du « business model » (modèle économique) qui fonde la stratégie avec les principes-mêmes du développement durable.

Car depuis le mouvement de la « shared value » (création de valeur partagée, popularisée par Michael Porter et Nestlé), l’idée s’est répandue que les enjeux sociaux et environnementaux de notre temps interrogent de manière pertinente la stratégie de l’entreprise à l’aune de la façon dont elle les intègre pour en faire des risques…ou au contraire des opportunités. L’enjeu est désormais de passer d’une approche qui constatait froidement qu’il était impossible de construire un business viable sur une planète en faillite à une démarche plus enthousiasmante et positive, orientée sur la contribution sociétale de l’entreprise, dans un contexte où le monde est désormais prêt à payer les entreprises qui seront capables de l’aider à survivre.

Comme le dit Peter Diamandis, fondateur du X Prize, « la plupart des gens pensent encore en termes de rareté, et de croissance linéaire. Ils voient les limites, plutôt que les possibilités. Ce faisant, ils oublient que les problèmes les plus importants de notre temps sont aussi les opportunités les plus importantes. »

Faire se rejoindre les talents et les forces de l’entreprise avec les besoins du monde, comme le prônait Aristote, c’est tout l’intérêt d’une approche stratégique fondée sur les ODD…

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