De Philips à IKEA, de Marks & Spencer à Monoprix, d’Akzo Nobel à Nike ou Unilever, un nombre croissant d’entreprises dans le monde affichent désormais une approche résolument positive du développement durable, orientée sur les opportunités d’innovation et de business que représente la résolution des problèmes écologiques et sociétaux contemporains. Double signe des temps : d’un côté, début 2018, le débat public s’intensifiait en France autour du projet d’intégration au droit et aux statuts légaux de l’entreprise d’une mission ou d’une raison d’être sociétale dépassant le simple profit ; de l’autre, aux Etats-Unis, le premier fonds d’investissement au monde, Blackrock, également premier actionnaire d’une entreprise sur cinq outre-Atlantique, annonçait qu’il n’investirait plus désormais que dans des entreprises soucieuses, non pas seulement de limiter les risques liés à leurs activités (comme le fait historiquement l’investissement socialement responsable), mais bien d’avoir une contribution positive à la société.
Cette révolution de l’impact positif et du « business for good » fait émerger dans les entreprises de nouveaux outils de stratégie et de pilotage de la performance. Comment rendre compte de la contribution de sa raison d’être ou de son modèle économique au bien commun ? Sur quelle base mesurer le déploiement dans son offre des produits et services mieux-disants ou carrément « positifs » ? Peu d’entreprises ont à date intégré ces éléments à leur stratégie, à leurs objectifs et à leur reporting…mais certaines, grandes ou petites, pionnières pour défricher ces nouvelles pratiques, montrent la voie, comme en attestent les exemples développés dans cette note.
De Philips à IKEA, de Marks & Spencer à Monoprix, d’Akzo Nobel à Nike ou Unilever, un nombre croissant d’entreprises dans le monde affichent désormais une approche résolument positive du développement durable, orientée sur les opportunités d’innovation et de business que représente la résolution des problèmes écologiques et sociétaux contemporains. Double signe des temps : d’un côté, début 2018, le débat public s’intensifiait en France autour du projet d’intégration au droit et aux statuts légaux de l’entreprise d’une mission ou d’une raison d’être sociétale dépassant le simple profit ; de l’autre, aux Etats-Unis, le premier fonds d’investissement au monde, Blackrock, également premier actionnaire d’une entreprise sur cinq outre-Atlantique, annonçait qu’il n’investirait plus désormais que dans des entreprises soucieuses, non pas seulement de limiter les risques liés à leurs activités (comme le fait historiquement l’investissement socialement responsable), mais bien d’avoir une contribution positive à la société.
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