La crise sanitaire de la COVID-19 a mis en exergue le rôle des entreprises de la propreté et plus particulièrement celui « de l’hygiène dans la vie quotidienne de chaque citoyen, qu’elle soit personnelle, professionnelle, ou qu’elle relève de la salubrité et de la santé publique »[1]. Le secteur s’est mobilisé pour assurer une continuité de service et veiller à la propreté et à la salubrité des lieux privés et publics ainsi qu’à la santé des personnes.
Sous l’impulsion de la Fédération des Entreprises de Propreté (FEP), le secteur est engagé depuis plus de 10 ans dans une politique de Responsabilité Sociétale des Entreprises qui comporte 3 axes :
Le Fare Propreté, un fonds d’innovation qui accompagne et soutient le développement économique et social des entreprises de propreté, construit et pilote des actions concrètes, notamment pour renforcer leur contribution à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD). Parmi les actions mises en place, le Fare propose, en partenariat avec Utopies, la formation « RSE Propreté ».
[1] Philippe Jouanny, président de la Fédération des Entreprises de la Propreté (FEP)
La formation « RSE Propreté » s’adresse aux référents RSE des entreprises et les accompagne, au cours d’un parcours d’une durée de 6 à 8 mois, pour franchir une nouvelle étape dans leurs engagements RSE.
La formation comporte :
Concrètement, le parcours de formation permet aux participants de :
La Formation RSE Propreté contribue à la transformation du métier et invite les dirigeants et référents RSE, quelle que soit la taille de leur entreprise, à intégrer les enjeux sociaux et environnementaux au cœur de leur mission, de leur stratégie et de leur démarche d’innovation, à se fixer un cap et à mettre en œuvre des actions dans une logique d’amélioration continue.